Douglas Preston, reporter au New Yorker et au National Geographic et romancier s’est aventuré aux côtés d’une équipe de scientifiques dans l’impénétrable jungle de la Mosquitia dans le nord-est du Honduras pour découvrir la fameuse cité blanche ou Cité du Dieu Singe. Ce dernier bastion inexploré est rapporté dans un livre passionnant, La cité perdue du dieu singe, à la façon d’un thriller et publié par les Editions Albin-Michel.

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Douglas PRESTON – La Cité perdue du Dieu singe
Editions ALBIN-MICHEL
Prix :24 € – ISBN :978-226325068 – Parution : 28 mars 2018 – 384 pages

Un voyage au coeur d’une des régions les plus sauvages de la planète sur les traces d’une cité mythique et d’une civilisation disparue.

Bienvenue dans l’impénétrable jungle de la Mosquitia, dans le nord-est du Honduras. C’est là que s’est aventuré le romancier et journaliste Douglas Preston aux côtés d’une équipe de scientifiques pour lever le voile sur l’un des derniers mystères de notre temps : la fameuse Cité blanche, ou Cité du dieu singe, qu’évoquait Hernán Cortès au XVIè siècle et que personne à ce jour n’avait réussi à localiser. Ancienne malédiction, jaguars et serpents mortels, parasites mangeurs de chair et maladie incurable, controverse scientifique… Ce récit digne des aventures d’Indiana Jones et riche d’enseignements sur la plus importante découverte archéologique de ce début de XXIè siècle remet en perspective ce que l’on croyait savoir des civilisations préhispaniques, à l’heure où la mondialisation et le réchauffement climatique menacent de condamner notre monde au sort tragique de cette cité mystérieusement disparue. « Douglas Preston a écrit, au péril de sa vie, un récit d’aventures puissant et terrifiant. » David Grann, auteur de La Cité perdue de Z.